Une gourde fabriquée à partir de ressources naturelles : c’est possible !

Une gourde éco-responsable fabriquée à partir de ressources naturelles : c’est possible !

Une gourde éco-responsable, fabriquée à partir de ressources naturelles, c’est possible ! Je vous explique : certaines ressources naturelles permettent de produire ce qu’on appelle le PLA dont le composant de base est l’acide lactique.

C’est lors de la fermentation d’une source de glucide telle que l’amidon de maïs ou la canne à sucre, qu’on obtient cette forme de polyester.

La fabrication du gourde éco-responsable avec des ressources naturelles

Le PLA, qu’est ce que c’est ?

Le PLA est produit à partir de matières premières renouvelables. C’est en réalité un plastique végétal obtenu à partir d’amidon de maïs, manioc ou canne à sucre… Il est sans pétrole et sans danger pour l’environnement.

Du fait de sa composition, il permet de limiter l’utilisation de pétrole ou de matières premières ayant un impact environnemental.

Alternative pour lutter contre le plastique dans la nature

Alternative écologique intéressante

Pour celles et ceux qui ont une conscience écologique, une gourde éco-responsable, fabriquée à partir de ressources naturelles, est une bonne alternative pour lutter contre le plastique. En effet, même si les produits à usage unique en plastique sont de plus en plus mis de côté, il existe encore énormément de pollution liée au plastique.

Le compost : une économie circulaire qui préserve les ressources naturelles

Rendons à la nature ce qui lui appartient. Cette gourde compostable est un très bon exemple. Faite à partir de manioc, canne à sucre et amidon de maïs. Une fois son utilisation terminée, nous pouvons la mettre dans un compost.

Elle permet ainsi de limiter les déchets ménagers, d’encombrer les déchetteries, et d’éviter un traitement industriel une fois jeté.

Biodégradable ? À quel point ?

Des conditions qui dépendent de l’environnement

Le PLA a un processus de biodégradation qui dépend de son environnement. Pour se décomposer, il lui faut de l’oxygène, de l’humidité et des températures gravitant autour des 60° avec des bactéries spécifiques.

Pour ce genre de produit, le compost familial risque de ne pas suffire et c’est pour ça qu’il est préférable de se tourner vers un compost industriel. Ainsi, l’environnement sera plus propice pour le processus de biodégradation.

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